Parce que au bout de presque un an j’en ai comme un peu marre d’entendre des trucs du genre: mais qu’est ce qui t’a pris d’acheter un cheval comme ça? Ou encore pourquoi tu n’as pas pris un vrai cheval? Ou encore c’est trop cher pour ce que c’est, ça ne sert à rien, ça ne saute pas, ne dresse pas, ce n’est pas un cheval de selle mais seulement d’attelage…. et autres amabilités du genre, je décide aujourd’hui de faire le point aussi objectif que possible sur mon cheval.
Je lui dois bien ça, lui qui supporte mes erreurs de débutante depuis des mois sans jamais se fâcher et pourtant il en a eu des raisons de me flanquer par terre…..
* D’une malgré son jeune age et son manque évident d’expérience, je sors seule en extérieur avec lui, et combien de cavaliers de mon niveau peuvent en dire autant avec un cheval de son age? sans doute assez peu.
* De deux, comme dit plus haut jamais il ne se fâche et pourtant des erreurs de mains, j’en commets à longueur de temps, il aurait pu prendre le parti de tirer comme un 4X4 de son coté mais il n’en a rien fait.
* Après étude de plus près du problème du manque d’impulsion, je pense que celui ci est essentiellement du…. à moi et justement à mes perpétuelles erreurs de mains.
* Oui il saute, puisque dès sa première séance il a passé près de 1M, et oui il dressera, dès que je serai en mesure moi même de dresser…. ce qui prendra le temps que ça prendra
Les chevaux, c’est un peu comme les maris ou les enfants, seuls ceux qui vivent avec en l’occurrence, les conjoints ou les parents peuvent se permettre d’en faire la critique.
Effectivement la question du choix du frison reste énigmatique même pour moi: le hasard, les crins, la ressemblance avec les ibériques mais l’idée (stupide) que seul le tempérament serait différent….. Le fait est que je n’avais jamais posé mes fesses dessus avant d’en faire l’acquisition et que la période de transition fut ardue
Ceci dit et quand au confort de ces chevaux, c’est comme le reste cela se travaille. Twan travaillé depuis deux mois et quand il est concentré, en sortie par exemple, est très confortable. Est ce le fait d’être avec un cheval de travail à 100 % dans son boulot qui rend le mien aussi concentré? Peu importe, le résultat est là et du tape cul qu’il peut être parfois, il se mue en quasi selle ibérique.
Voilà, à toi mon cheval qui n’a pas que des défauts loin s’en faut, et donc le grand cœur compense largement les petites faiblesses physiques.
Ensuite .. Qu’est-ce qui peut amener à vouloir acheter un cheval, à plus forte raison quand on est débutant ? Question intéressante je pense…..
Dans mon cas j’ai débuté l’équitation en y pensant comme a une activité à faire une fois par semaine. Ce que je n’avais pas imaginé, c’est que cela deviendrait une passion, on pourrait penser qu’à partir du moment ou l’on est passionné l’achat est une évidence, et bien pas tant que ça.
Il est reconnu que lorsqu’on est débutant il vaut mieux monter divers chevaux, c’est plus formateur d’être confronté a des allures et des comportements différents, sans parler du niveau de dressage.
Quand à la quantité de « monte », il y a plusieurs solutions :
1 - on peut prendre plusieurs cours par semaine, à budget équivalent à celui que nécessite l’entretient d’un cheval, je pourrai prendre 7 a 8 cours par semaines.
2 – la location de cheval pour les clubs qui le propose, dans le mien pour 8€ je peux louer un cheval 1h, c’est encore moins cher que les cours.
3 – la demi-pension, cheval de club, ou cheval de propriétaire c’est au choix, les 2 ont leurs avantage et inconvénients.
4 – la monte gratuite, vous n’imaginez pas le nombre de propriétaires qui cherche quelqu’un pour monter leurs chevaux gratuitement, rien que pour les faire un peu travailler dans la semaine.
5 – les stages, rando et balade, proposé par votre club ou pas.
Dans mon cas j’ai cumulé 2 chevaux à monter gratuitement, une demi-pension, et des cours gratuits en échange de travaux au club.
Donc on le voit, si vous voulez monter, l’achat n’est pas obligatoire, alors qu’est ce qui peut bien pousser à acheter ???
La réponse, je vais la résumer en une phrase :
« Ne lui apprend pas à reculer elle (une jument), va l’utiliser comme défense en club. »
Dit par le propriétaire de l’écurie dans laquelle je montais à l’époque a propos de la jument de club que j’avais en demi-pension, je me rappelle encore de ses mots quand je l’ai prise en DP : « fait comme ci c’était ton cheval ».
Comme on le voit, finalement je ne pouvais pas faire comme cela, alors pourquoi être propriétaire, et bien justement pour être 100% responsable de l’éducation de son cheval.
Et la première chose que j’ai appris au mien, c’est de reculer
Voilà pour le global .. Sinon en effet Admin je créer des chapeaux pour une chapellerie .. Simple accessoire ou modèle plus sophistiqué, le chapeau est furieusement « tendance ». Autrefois réservé à l'aristocratie européenne, il s'affiche désormais sur toutes les têtes. Et j'adore mon travail
J'aime surtout la phase de création .. Le modiste commence par imaginer un modèle, parfois en partant du croquis d'un couturier ou d'un styliste. Il choisit les tissus et les matériaux à utiliser (feutre, mousseline, lainage, fourrure, paille, rotin, copeaux de bois, papier journal, carton...). Puis il moule la forme sur un support en métal ou en bois. Fabriquer un chapeau, c'est un peu comme réaliser une sculpture. S'aidant d'un marteau et de pinces, le modiste crée des volumes en 3 dimensions. Il apporte le plus grand soin aux finitions (ganses, surpiqûres...) et au garnissage. Voilettes, rubans, plumes, fleurs, perles... autant d'éléments décoratifs qui apportent une touche finale à la coiffe. Et révèlent la personnalité et le talent artistique du modiste. Moi je suis très ruban en soie x)
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Jeu 9 Sep - 12:11
